Dignité et démocratie |
Publié le Dimanche 25 Septembre 2011 à 16:30 |
Dignité avant le pain et respect de l’Etre humain Inutile de croire que votre terreur va nous faire peur Garçons, filles malheureux depuis l'enfance frustrés N'oublient jamais qu’ils sont une force ayant le droit au bonheur Insolents les dirigeants, les chassent ne leur laissent aucun espace Tu es diplômé ou chômeur, tu connais le même sort Ecris crie prie personne ne t'entend, ils craignent leurs rapaces Elèves et étudiants, regarde leur sang innocent couler dans les ravins Trop c'est trop, ces désespérés se font immoler ou prennent la mer Des victimes d'un système qui a légalisé la fraude et l'escroquerie Et oui les richesses de la Tunisie pillées par les rapaces. Mehrez BENSAID Soyez des journalistes citoyens Cette rubrique est aussi la vôtre. Si vous souhaitez exprimer vos coups de cœur, coups de gueule ou revenir sur n’importe quel sujet qui vous tient à cœur, un événement qui vous interpelle, vous pouvez le faire en nous faisant parvenir vos écrits en cliquant ici. GlobalNet se fera un plaisir de les publier, avec ou sans la signature de leurs auteurs. Vous avez tout à fait le droit de garder l’anonymat ou de signer avec un pseudo. |
Commentaires
Ecrit par Poète sur la crête 30-09-2011 22:32
Ce poème a été publié dans le journal "La Presse" du 17 mars page 09.
Le voici intégral:
Dignité avant le pain et respect de l'être humain
Inutile de croire que votre terreur va nous faire peur
Garçons filles malheureux depuis l'enfance frustrés sûr et certain
N'oublient jamais qu'ils sont une force ayant le droit au bonheur
Insolents les dirigeants les chassaient ne leur laissant aucun espace
Tu es diplômé ou chômeur tu connais le même sort
Ecris crie personne ne t'entend ils craignent leurs rapaces
Elèves étudiants regardez leur sang innocent dans les ravins
Trop c'est trop des jeunes désespérés se font immoler ou prennent la mer
Des victimes d'un système qui a légalisé la fraude et l'escroquerie
Et oui les richesses de la Tunisie pillées par les familles du cher père
Malheur à celui qui ne gagne son pain à la sueur de son front mes amis
Où que vous soyez usurpateurs vous persécutent les malheurs
Comme tout tyran vous vous êtes trompés et la rage du peuple négligée
Richesses fortunes exorbitantes vous permettent-elles de vivre le bonheur
A jamais balayés de notre grande patrie que vous avez trahie, dévorée sans pitié
Tous les citoyens que vous avez maltraités n'ont que du mépris à votre égard
Ici la révolution va fleurir nos braves enfants vont mûrir et gare aux vampires
Et de cette petite crise notre économie va s'en sortir grâce à nos volontés la révolution va réussir.
Mehrez BENSAID-Professeur syndicaliste démocrate.