CSS : Philippe Troussier sur un siège éjectable |
| Publié le Samedi 27 Septembre 2014 à 20:53 |
 Sifflé par le public qui contestait ses choix depuis plusieurs semaines, le coach du Club Sportif Sfaxien, Philippe Troussier, pourrait être limogé dans les prochaines heures selon la chaîne Bein Sport. L'élimination de l'équipe sudiste en ligue des champions samedi face à l'AS Vita Club pourrait pousser la direction du club à limoger le technicien français. |
Commentaires
Ecrit par Léon 28-09-2014 15:47
Ecrit par Léon 28-09-2014 15:02
Ecrit par Assissi 28-09-2014 10:40
Ecrit par Ortho 28-09-2014 09:50
Je pense sincèrement que vous avez besoin d'être consulté, poster un tel message dans un article sportif dénote d'une propension à la paranoïa et cache peut être une maladie plus grave encore.
Je suis abasourdi de lire de telles âneries, une telle haine et un ramassis de théories plus abracadabrantesques les unes que les autres.
Ortho, un compatriote qui te veut du bien.
Tunisois et espérantiste, mais triste pour le CSS.
Ecrit par Léon 28-09-2014 08:21
Le foot est vecteurs de beaucoup de jalousies. Et la réaction de beaucoup d'habitants de cette ville un 12 janvier 2011 était dans leur inconscient dû à une frustration footballistique (à Tunis tout le public espérantiste état dans la rue le 14 janvier à cause du 5-1 qu'ils ont écopé le dimanche précédent). Bien plus qu'à des vérités sociales et économiques (ce n'est quand même pas la ville la moins bien nantie de Tunisie, ohhhh, loin de là!).
J'aurais aimé que cette année mette fin à cette frustration qui a mené au 12 janvier donc à la chute de Ben Ali.
Sans la réaction massive de Sfax, les médias traîtres étrangers ne pouvaient se prévaloir d'une quelconque légitimité d'ingérence, et par conséquent la ville de Sfax, cette ville, à elle toute seule, est au moins à 60% responsable du départ de Ben Ali. D'ailleurs tous les sfaxiens s'en vantaient (ce n'est donc pas mon invention!).
Peut-être que l'histoire montrera qu'ils ont bien fait. Je ne le pense pas et suis convaincu du contraire. A mon avis, ils ont détruit leur pays par bêtise. Ni les élections, ni les fausses libertés ne pourront y faire quelque chose. Cette révolution a endetté le pays à un point tel, que l'on est aujourd'hui de facto colonisés.
Alors, vous comprenez pourquoi à quel point j'aurai aimé qu'ils gagnent cette coupe. Juste pour sauver mon pays.
Ahhhhh, ce foot! Une plaie sans précédent!
Léon.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.