La Tunisie risque d’atteindre le point de non-retour (Ennaïfer) |
| Publié le Mercredi 25 Février 2015 à 15:17 |
.jpeg "Nafaâ Ennaïfer") Le président de la commission es affaires économiques à l’UTICA, Nafaâ Ennaïfer, a déclaré ce mercredi sur Mosaïque que la Tunisie vit un état de laxisme et d’anarchie, et "si cette situation persiste, ce sera le point de non-retour," a-t-il dit. Il a appelé certains syndicalistes à lire la réalité et à prendre en considération les difficultés des entreprises privées et publiques, et la situation économique dans son ensemble, étant entendu que toute augmentation représente une charge pour le budget de l’Etat, ce qui est de nature à impacter l’investissement, et à produire davantage de chômage et de pauvreté. Selon ses dires, l’autorité de l’Etat demeure un slogan, car la loi ne s’applique pas encore, les transgressions se répètent tous les jours, en présence d’une inconscience quant au caractère catastrophique de la situation économique. La responsabilité incombe, à ses yeux, à différentes parties dont le citoyen, l’administration, le gouvernement, les syndicats, les médias et la société civile. Le responsable du patronat a appelé à l’action, car "le destin de la Tunisie et des générations futures est en danger". Nafaâ Ennaïfer a appelé à hâter l’application de la loi, à rétablir la qualité des services, et à faire face à la fainéantise. Gnet
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Commentaires
Ecrit par amine.K 29-04-2015 10:53
- le chef de gouvernement est perplexe indécis qui cherche seulement son intérêt qui attend la mort douce de la Tunisie
- Abbasi il sème la l’anarchie partout il cherche la célébrité sur le compte des pauvres tunisiens , il est considéré DAECHSYNDIC en Tunisie.
- le bassin minier de phosphate doit être entre les mains de l'armée comme les autres pays, c'est un bien de l’état et pas des citoyens .
- Dans quelques jours la CPG et le GCT feront faillite et 7500 familles environ seront démunies de leurs salaires c'est ABBASI et le chef de l’état qui va servir les salaires ??????????
Quelle catastrophe
les hommes d'affaires étrangers ne veulent, plus parler de la Tunisie il l'a considérée comme anarchie .
cadre de la CPG