La hausse des prix impacte les catégories aisées, en quête d’accessoires (Korchid)

Publié le Lundi 08 Janvier 2018 à 14:21
Mabrouk KorchidLe ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières, Mabrouk Korchid, a exclu ce lundi 08 janvier toute augmentation de prix des produits de base, touchant directement la classe moyenne, affirmant le souci du gouvernement de prendre en compte les classes moyennes et démunies, malgré les conditions difficiles que traverse le pays.

Il a ajouté que la hausse de certains produits impacte notamment les catégories aisées, qui sont en quête de besoins accessoires, et non la classe moyenne, signalant que la plupart des augmentations concernent les produits importés, et les hydrocarbures, étant en rapport avec les cours mondiaux.
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Commentaires 

 
+1 #1 RE: La hausse des prix impacte les catégories aisées, en quête d’accessoires (Korchid)
Ecrit par Agatacriztiz     08-01-2018 18:33
Pourquoi, les classes moyennes ne se nourissent que de pâtes, de pain et de couscous ? Elles n'ont pas le droit de temps en temps de manger des salades de tomates (quel luxe !) ou des fruits (je ne parle pas d'ananas, kiwis ou pommes golden de luxe rouges et bien cirées, ni même bananes), boire du "gazouz"(et pas de canettes aux boissons "aphrodisiaques" ou "survitaminées") ou des biscuits (Saïda uniquement), pas de pâtisseries ?
Et les gamins, dans tous ça, pas de vêtements de sports, à par ceux de la fripe (qui sont hors de prix soit dit en passant) ? pas de confiseries ni de fricassés quand on décide de leur faire prendre l'air ou de les amener au stade ?
Ah les produits importés ! malheureux celui qui a un tacot qui aurait la mauvaise idée de tomber en panne faute de pièce de rechange au prix devenant de plus en plus inaccessible, au fiancé fébrile désirant offrir un parfum (importé) à sa dulcinée, au risque de la perdre, au pêcheur du dimanche désirant taquiner le poisson au bord du lac de Tunis avec une canne (importée).
Quant aux catégories "aisées" elles risquent d'en avoir tellement marre et de décider un jour ou l'autre de poursuivre leurs activités sous d'autres cieux à la fois plus rémunérateurs et plus cléments en matière fiscale.
 
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