BCE évoque les relations privilégiées entre la Tunisie et l’Algérie

Publié le Vendredi 31 Juillet 2015 à 10:43
Béji Caïd EssebsiLe président de la République, Béji Caïd Essebsi, a clôturé jeudi 30 juillet, à Carthage la conférence annuelle des chefs de missions diplomatiques et consulaires, en présence du chef et des membres du gouvernement, et de cadres du ministère des Affaires étrangères.

Le chef de l’Etat a mis l’accent sur les constantes et les objectifs de la politique étrangère, dictés par les priorités sécuritaires et de développement, et par les exigences du processus démocratique, indique la page officielle de la présidence.

Le chef de l’Etat a affirmé la ferme volonté de l’Etat à faire face au terrorisme, à promouvoir le développement, en comptant sur ses propres capacités, et en consolidant ses relations de coopération avec de nombreux pays et organisations, évoquant le rôle pionnier des missions diplomatiques en la matière en vue d’œuvrer davantage à attirer les investisseurs étrangers.

Caïd Essebsi s’est arrêté aux relations de la Tunisie avec les pays frères, dont la situation intérieure connait une tension à l’étape actuelle, affirmant la nécessité de s’en tenir à l’intérêt de la Tunisie? à œuvrer à y relancer la voie de dialogue, et à éviter les facteurs de discorde et de conflit.

Le président de la république a mis l’accent sur les relations privilégiées entre la Tunisie et l’Algérie. Il a affirmé le rôle positif de la Tunisie dans les cours des événements en Libye, et les conséquences de ces événements sur notre pays au double niveau économique et sécuritaire, exhortant les protagonistes libyens à opter pour une solution consensuelle fondée sur le dialogue, et à faire prévaloir l’intérêt du pays, sur l’intérêt des partis et factions.
Gnet


 

Commentaires 

 
#1 Allons, Un peu de courage
Ecrit par Le Numide     01-08-2015 21:11
BCE n'a pas, hélas, l'envergure et la stature de Bourguiba! Il n'a pas le courage politique de dire non aux occidentaux. Le drame, c'est que ces occidentaux ne lui apporteront pas grand chose et l'abandonneront sans aucun état d'âme s'il ne ramène pas l'ordre, la sécurité et la croissance économique.
 
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